À propos du programme d'excellence en mandarin
Le programme d'excellence en mandarin (MEP) est un programme linguistique intensif unique qui a débuté en 2016. Le MEP a permis à des milliers d'étudiants anglais d'apprendre le mandarin et d'acquérir un niveau élevé de maîtrise de la langue. Le programme est dispensé par l'IOE, la Faculté d'éducation et de société de l'UCL, au nom du ministère de l'éducation (DfE) et en partenariat avec le British Council.
À propos du webinaire
Ce webinaire partagera les résultats de la dernière évaluation du programme d'excellence Mandarin et inclura des réflexions sur la manière dont les résultats impressionnants en matière de réussite ont été obtenus :
Le MEP atteint son objectif principal d'augmenter le nombre d'enfants sur la voie de la maîtrise de la langue avec plus de 7 300 élèves dans le programme au cours de l'année scolaire 2021-2022.
Les élèves du MEP ont des résultats au GCSE chinois nettement supérieurs à ceux de leurs pairs non-MEP
La participation au MEP elle-même – en tenant compte de tous les autres facteurs – a un impact positif et statistiquement significatif sur la réussite.
Les intervenants comprendront des représentants de l'évaluateur indépendant, du ministère de l'Éducation, de l'IOE, de la Faculté d'éducation et de société de l'UCL et du British Council.
À propos du panel
Leila Tott
Directrice adjointe de la division des programmes du ministère de l'Éducation, chargée de la politique de l'EBacc, des langues et de l'enseignement religieux. Leilah a précédemment travaillé comme responsable de la politique des mathématiques, des sciences et de l'informatique, ainsi que pour un certain nombre de départements différents, notamment le Cabinet Office et l'unité d'analyse comportementale. Avant de devenir fonctionnaire, Leilah a travaillé comme institutrice en tant que directrice de l'année 6 et coordinatrice de l'anglais.
Katharine Carruthers
Katharine Carruthers est la directrice stratégique du programme d'excellence en mandarin. Elle joue également un rôle majeur dans le soutien au développement du chinois mandarin dans le programme scolaire général des écoles secondaires en Angleterre.
Katharine est une enseignante et examinatrice expérimentée en chinois. Elle est l'éditrice de la série de manuels pour l'enseignement du chinois pour les élèves de 11 à 16 ans et a rédigé le cahier des charges du chinois mandarin de Cambridge Pre-U. Au cours de la dernière décennie, elle a dirigé le développement du parcours PGCE Mandarin de l'IOE, en travaillant avec une cohorte d'environ 20 étudiants PGCE se formant chaque année pour enseigner le chinois mandarin.
Ses intérêts de recherche portent sur l’enseignement et l’apprentissage du chinois comme langue étrangère dans les écoles, la notion de compétence interculturelle dans les écoles chinoises et britanniques et la mondialisation et la politique linguistique.
Katharine Carruthers est conseillère académique stratégique mondiale de l'UCL (Chine).
Kieron Culligan
Directrice du conseil en analyse et évaluation chez Impact Stories. Impact Stories travaille dans les domaines de l'éducation, de la culture et du changement social. Son objectif est de rassembler, d'éclairer et d'interpréter les informations afin de fournir des informations et des enseignements exploitables aux organisations et aux programmes au Royaume-Uni et à l'étranger.
Publié le: 4 octobre 2024
Traduction des documents
Sira Kessié a confié qu’elle et son mari ont déjà pris des initiatives pour assurer leurs vieux jours. Ceci, en investissant dans deux domaines : le football et l’immobilier. Nous avons abordé cela dans notre précédente publication.
En effet, le secteur de l’immobilier est assez rentable en Côte d’Ivoire, et Franck Kessié pourrait gagner des millions de FCFA en investissant dans ce domaine. Il pose d’ailleurs les bases avec des actes qui suscitent l’admiration de ses compatriotes. Grâce cette belle image qu’il a construite, il lui sera plus aisé de réaliser des exploits dans le monde des affaires.
Il convient également de préciser que plusieurs autres personnalités ivoiriennes ont également choisi d’investir dans l’immobilier. C’est le cas du doyen A’salfo qui avait récemment déclaré :
« Nous venons d’un quartier pauvre. Un jour, au vu de notre succès, j’ai dit à mes frères : ‘Cette fois-ci, nous parlons en euros et ça risque de nous faire perdre la tête’.
Mais quand on a de la lucidité, on prend du recul et on se dit qu’il y a des choses qu’il faut faire. En réalité, dans nos chansons, nous-mêmes, nous donnons des conseils aux gens.
Donc tout de suite, il fallait investir dans des choses, car le métier d’artiste est un métier qui connaît des hauts et des bas. Il fallait préparer le jour où ça n’irait pas bien, d’autant plus que DIEU a permis qu’on ait une longévité, c’est-à-dire 30 ans de succès.
Donc, on a essayé d’investir dans ce qui pouvait être pérenne, d’où notre choix dans l’immobilier, bien qu’on ait commencé dans le transport. Avoir un abri, c’est déjà la première des choses ».
Retrouvez l’essentiel de l’actualité sur notre compte Tiktok.
Sira Kessié a confié qu’elle et son mari ont déjà pris des initiatives pour assurer leurs vieux jours. Ceci, en investissant dans deux domaines : le football et l’immobilier. Nous avons abordé cela dans notre précédente publication.
En effet, le secteur de l’immobilier est assez rentable en Côte d’Ivoire, et Franck Kessié pourrait gagner des millions de FCFA en investissant dans ce domaine. Il pose d’ailleurs les bases avec des actes qui suscitent l’admiration de ses compatriotes. Grâce cette belle image qu’il a construite, il lui sera plus aisé de réaliser des exploits dans le monde des affaires.
Il convient également de préciser que plusieurs autres personnalités ivoiriennes ont également choisi d’investir dans l’immobilier. C’est le cas du doyen A’salfo qui avait récemment déclaré :
« Nous venons d’un quartier pauvre. Un jour, au vu de notre succès, j’ai dit à mes frères : ‘Cette fois-ci, nous parlons en euros et ça risque de nous faire perdre la tête’.
Mais quand on a de la lucidité, on prend du recul et on se dit qu’il y a des choses qu’il faut faire. En réalité, dans nos chansons, nous-mêmes, nous donnons des conseils aux gens.
Donc tout de suite, il fallait investir dans des choses, car le métier d’artiste est un métier qui connaît des hauts et des bas. Il fallait préparer le jour où ça n’irait pas bien, d’autant plus que DIEU a permis qu’on ait une longévité, c’est-à-dire 30 ans de succès.
Donc, on a essayé d’investir dans ce qui pouvait être pérenne, d’où notre choix dans l’immobilier, bien qu’on ait commencé dans le transport. Avoir un abri, c’est déjà la première des choses ».
Retrouvez l’essentiel de l’actualité sur notre compte Tiktok.
